Représentation et échange d’informations¶

chaîne de la numérisation :

et de la restitution dans l’autre sens.

Exemples :

Codes¶

mots sur un alphabet, dictionnaire.

exemple : code pour représenter 4 lettres, code morse

code de longueur fixe, code de longueur variable

Règle: une liste de mots forme un code si aucun mot n’est préfixe d’un autre.

exemple : code de Huffman sur 4 lettres

code ASCII sur 7 bits

code UTF8, compatible avec l’ASCII

Représenter une information à l’aide d’un code qui lui est adapté, afin d’employer le moins de symboles possibles.

Exemples: Huffman (utilisé dans jpeg), Lempel-Zif (fichiers zip)

Représenter une information à l’aide d’un code paramétré par une clef, de sorte que restituer l’information initiale soit impossible sans la clef.

Ajouter de l’information redondante pour s’assurer que les données n’ont pas été altérées, voire pour les corriger dans ce cas.

Exemples : bit de parité ASCII, code par répétition, codage CIRC des CD

codage de la couleur en NB, gris, RVB ou CMJN, avec à chaque fois une profondeur en bits.

Exemple le codage RVB 24 bits: représentations du rouge, du vert, du bleu, du noir, du blanc, d’un gris clair, du magenta, du jaune...

Deux techniques radicalement différentes.

type	bitmap	vectoriel
principe	grille de pixels	description mathématique de l’image : formes géométriques, splines opérations (intersection, dilatations...) gradients
avantages	richesse de détails edition au pixel	faible poids agrandissement sans perte facile à modifier (couleurs, formes)
inconvénients	gros fichiers pixelisation	détails et effets limités (flous) rendu parfois difficile (calculs) problèmes de compatibilité
utilisation	photographies	logos, fontes
formats	png, jpeg, tiff	eps, ai, svg

exemple: poids d’une image carré noir 1px1p en svg ou en tiff